L’idée de vider le garage de ces pots de peinture murale – largement entamés lors de multiples rénovations, me démotivait au plus haut point.
Heureusement, une chute de bois est devenue ma planche de salut. Avec une morceau de tige filetée en guise de mélangeur et de pinceau , je me lance à composer, avec la batterie de fond de pots , une bataille des plus déchaînée. Croute, pâte, ciselage de la matière, d’un mouvement rageur…
Le pavillon noir aura finalement le dernier mot sur le pavillon français.
Et mes pots de peinture ont fini glorieusement leur office dans cette explosion de couleurs dans le pur esprit Bellovaci.fr
