
J’avais envi de me tester sur du classique.
La dune du pilat. Que pouvais je en faire?
Un essai donc, un contre jour pour gagner en intensité. Un ciel en mouvement.
Un classique à croquer en une heure de temps.
Juil 10
J’avais envi de me tester sur du classique.
La dune du pilat. Que pouvais je en faire?
Un essai donc, un contre jour pour gagner en intensité. Un ciel en mouvement.
Un classique à croquer en une heure de temps.
Juil 08
Nous sommes dans les jardins de Claude Monet à Giverny. Lieu d’excellence où il a exercé son Art. Fondateur de l’impressionnisme : la série des nymphéas…
Le jardin a par endroit des notes japonaise, comme cette barrière de bambous naturelle et cette cloture de bambous artificielle.
Et nous avons ces 3 passagers.
Assis, à attendre. Je n’ai pu m’empêcher de voir le rapprochement avec l’attente du métro, ou d’un train. Les bambous verticaux naturel faisant un mur dans leur dos – Station MONET. La cloture.. des rails.
L’une dans son smarphone, l’autre assoupi et le dernier prenant son mal en patience d’un air blasé.
Le temps est comme suspendu – à l’espoir de prendre ce train. Parcours initiatique vers l’impressionnisme que le jeux de l’ombre et de la lumière tente d’exprimer.
Juil 07
Nous étions à la table de la cuisine. J’étais rentré tard. Un repas m’attendait.
Un soir de semaine comme beaucoup d’autres. La routine d’une vie amputée de journées de travail à rallonge, où on a le sentiment d’être en apnée pendant 5 jours d’affilée – le week end comme seul salut.
Et là, un reflet. Notre reflet dans la porte fenêtre de la cuisine. Nous deux saisis dans cet instant privilégié – fugace et si vite oublié.
Alors tel le négatif d’une photo abimée par l’usure du temps….
Juil 04
Issu d’un besoin profond de s’extirper, j’ai eu cette révélation d’une naissance – d’un être qui s’extrait avec difficulté d’ un arbre.
Il me restait plus qu’à trouver un bout de boit, un peu d’argile et de composite. Et voilà.
Une naissance, … douloureuse au premier abord.
Que quelques éclairages habiles rendront aussi érotique.
Pour finir par l’ombre du plaisir initial 😉
Freud n’est pas loin.
Juil 02
Dans nos 2 petites villes de Luzarches et Chaumontel, il m’arrivait souvent de croiser un personnage étrange. Vêtu d’un bleu, limite blouson et coiffé de ce qui pourrait dans ma mémoire ressemblé à un turban.
Je l’ai de nouveau croisé, assis sur un banc, face aux habitués qui sirotaient une bière ou un café.
Lui se contentait de la chaleur du soleil d’une matinée ensoleillée – profitant de l’instant. Paisible.
Etait-ce un marginal ? une vie à la marge du cadre de nos sociétés ? un de nos guerriers?
J’étais en voiture – le temps d’un clignement d’oeil pour capter la scène.
Puis je me suis égaré dans les couleurs et les codes… pff.